Les machines de construction requièrent d’importants capitaux. Avec le vendor leasing, Simmler Baumaschinen AG ne ménage pas seulement ses propres liquidités, mais préserve aussi la flexibilité de sa clientèle.

Pour vendre des machines de construction, je dois être présent sur les chantiers

Le cœur de métier de Thomas Simmler était consacré à la seule réparation de machines de construction, mais pour finir cette activité, à l’origine isolée, s’est inscrite dans l’ensemble du rouage économique. «Dans notre secteur d’activité, tant la fidélisation des clients que les garanties revêtent toujours plus d’importance. En fait, je ne peux réparer que les machines que j’ai vendues auparavant. Et pour vendre des machines, je dois toujours être présent sur les chantiers, en proposant des machines de location, par exemple.» En fait, Simmler Baumaschinen AG couvre trois secteurs opérationnels: la réparation, la vente et la location, qui se conditionnent mutuellement.

«Le leasing ne ménage pas seulement mes propres liquidités, il préserve aussi la flexibilité de ma clientèle.»

Thomas Simmler, propriétaire de Simmler Baumaschinen AG

Le vendor leasing en tant qu’alternative au paiement par redevances

Pendant longtemps, la vente a eu pour Thomas Simmler ce grand inconvénient d’immobiliser les liquidités. «En effet, le paiement échelonné est monnaie courante pour les gros engins de chantier. Jusqu’à présent, je gérais les choses de la manière suivante: j’achetais moi-même les machines et mes clients me les remboursaient de manière échelonnée, au détriment de mes propres liquidités.» 

Depuis que Thomas Simmler collabore avec Raiffeisen dans le cadre d’un partenariat de vendor leasing, les choses ont bien changé pour lui. En quelques clics, il crée une proposition de financement pour son client dans l’outil en ligne Vendor. Il soumet la demande de leasing à Raiffeisen Suisse, également par voie électronique, par le biais de cette application. 

Si la demande satisfait aux exigences, Raiffeisen achète la machine souhaitée et la met à la disposition du client, qui la paie en versant des redevances de leasing. De ce fait, les liquidités de Simmler Baumaschinen AG ne sont plus bloquées, mais demeurent à disposition pour contribuer au développement de l’entreprise.

Processus simplifié de contrôle de solvabilité

Très souvent, un processus d’examen de crédit simplifié s’applique aux machines de chantier, comme l’explique Peter Büchi, responsable de groupe vendor leasing chez Raiffeisen Suisse: «Pour accorder un leasing à un nouveau client de Simmler Baumaschinen AG, il faut réunir les critères suivants: il faut que Creditreform nous fournisse un indice de solvabilité satisfaisant sur l’entreprise, celle-ci doit exister depuis au moins trois ans et être inscrite au registre du commerce. Les nouvelles entreprises de moins de 12 mois et les jeunes entreprises de moins de 36 mois sont évaluées au cas par cas.

Il est même possible de renoncer à un processus de contrôle étendu en cas de concordance de tous les paramètres de la transaction, tels que la valeur d’acquisition de l’objet à leaser, le risque en blanc, la solvabilité du client et son engagement. C’est très souvent le cas au vu de la valeur d’acquisition moyenne d’une machine de chantier de Simmler AG.

La simplicité est payante pour Thomas Simmler. Si, lors d’un entretien de vente, il se rend compte que le client peine à rassembler la somme totale, il fait intervenir le leasing. «Je n’ai pas à m’inquiéter de savoir si la demande de leasing sera acceptée ou non. Du moment que les critères susmentionnés sont réunis, je sais que je peux proposer ce financement à mon client sans délai et avec peu de travail administratif.» C’est ainsi que Thomas Simmler transforme sans hésiter un prospect en un acheteur, tout en favorisant ses ventes.

Flexibilité grâce au contrat-cadre

Et même pour les cas plus complexes, Raiffeisen Leasing propose des solutions sur mesure. «Récemment, un entrepreneur m’a contacté au sujet d’un leasing pour des machines de chantier, mais il venait de créer son entreprise, qui n’avait pas encore trois ans d’existence», raconte Thomas Simmler. L’examen simplifié n’était donc pas envisageable dans cette situation. En lieu et place, l’acheteur et le vendeur ont défini ensemble avec Raiffeisen des conditions personnalisées qui convenaient à toutes les parties prenantes.

Thomas Simmler apprécie cette complaisance chez Raiffeisen. «C’est vraiment une banque simple. On se tutoie, on connaît les gens avec lesquels on travaille et même tard le vendredi après-midi, on peut encore venir exposer des problèmes et poser des questions. Je ne connais pas cela dans d’autres banques.»

Pour Thomas Simmler, c’était donc une étape tout à fait logique de miser, pour sa propre flotte également, sur les modèles préservant les liquidités, comme le programme de financement des stocks ou le programme de location et de démonstration, tels que proposés par Raiffeisen Leasing. Il dispose donc d’un contrat-cadre de leasing, dans les limites duquel il peut acquérir de nouveaux véhicules librement et sans aucune contrainte administrative. Cela lui apporte, à lui-même, la flexibilité nécessaire et à ses clients, la certitude que Simmler Baumaschinen AG dispose toujours des modèles les plus récents dans son offre.